Read-my-sweet-Mind

Cela me fait du mal a écrire tout cela vous savez. Cela me rends paranoïaque. Envers mes amis et ma famille... Mais je vais continuer, et j'aimerais pouvoir avoir assez de courage pour appeler l'assitante sociale et lui donner l'adresse...

Pour récupérer la voiture, on a attendu que X et les fils soit partis de la maison, pour pouvoir y accéder sans problème. Il avait casser la serrure de la porte pour y rentrer, et pour démarrer la voiture il a bricole les filles sous le volant. Une chose dont il n'aurait pas pu faire seul. Pendant que personnes n'était dans les barrages, on a pousser la petite voiture rouge dans la banlieue la plus proche et moins risqué, jusqu'à ce que le réparateur soit venu la récupérer. Les repérages ont du nous coûté cher, et j'étais prête a partir porter une plainte. Mais je l'ai pas fait, peut être parce que je respecter le choix de ma mère, qui sais?  Changeons de fait, lors de ces moments frappantes, je me rappelle d'un évènement qui m a assez perturber. C'était un jeudi soir et comme chaque soir, ma mère et moi sommes sortit pour pouvoir laisser reposer nos oreilles. Peut de temps après C nous a rejoint, mais cette fois avec son frère, ils étaient encore sous la teneur de l'alcool. Ils nous ont rejoint au port,qui etait a cinq minutes de notre demeure. Il y avait aussi S. Un bon ami aux deux frères, et qui était toujours au services des autres. Ils les surveiller. Il les séparer quand sa allait trop loin, mais sa consommation d'alcool n a pas pu les aider ce soir la. Les frères se sont taper dessus. C est handicapé a un bras, et ne peut pas utiliser toute ses forces sur celle-ci, son frère a profiter de se handicap pour le rabaisser au sol. Ils se retrouve face a face, et son frère lui met un coup au front. Assez fort pour qu'il ai besoin de points de sutures. J'ai crier pour qu'il vienne dans la voiture et qu'on l'emmène loin du port. Je l'ai supplier, ma mère aussi, je lui est dit que si ils nous aimer, il devait nous faire preuve de respect et de monter dans la voiture. Il a écouter. Pendant plusieurs heures on est rester a l'hôpital, a attendre que C passe et se fasse réparer. J'ai eu peur cette nuit. Le chien était près a attaquer le frère de C, ils était près a s'entre-tuer, Entre frères. Le lendemain je suis pas aller au collège. J'ai dormi. Lorsque je me suis lever, ma mère était la a table entrain de boire un café. S est venu ce midi la aussi. Voir comment aller les deux frères. Mais quand le frère de C c'est lever on est tomber sous l'horreur, et on a du appeler les pompiers. La vielle, lorsque son frère est revenu a la maison, une voiture l'avait percuter. Il ne sentait plus ses jambes, elles était couvert de bleu. Ma mère a passer la journée a l'hôpital... encore une fois.

X m'avait vraiment fait peur a certains moment. Le moment le plus dure, et surtout la moins évidente a confier au gens est celle d'une matinée, ou X a voulu nous rendre visite chez notre soit disant chez nous. Il est venu sonner a la porte, et lorsque les deux frères se sont aperçu de la personne, ils sont sorti pour essayer de lui faire partir, mais X a été plus fort qu'eux et a réussi a rentrer. Il était bien vêtu de sa veste long et de son chapeau. La bousculade avec les deux frères l'avait énerver, et d'un air  menaçant, il nous a dit a tous en montrant du doigt " Je chope un flingue et je vous tue tous ". Que voulez vous penser après cela... Lorsque j'avais douze ans, je suis passer d'une famille stable a totalement instable, je suis passer sur des situations terrifiantes, menaçante, l'École devenait un catastrophe, et ensuite s'être devant une menace. C'est la ou j'ai commencer a comprendre que ça allait durer un bon moment cette histoire, et que ni ma mère, ni C ni moi était près d'en sortir. X avait aussi repérer la "nouvelle" voiture de ma mère, et c'est engager un soir a la voler et l'amener jusqu'à chez lui. Le lendemain matin, ma mère s'est aperçu que ça voiture avait disparu, mais ce n'était pas pour autant qu'elle a était voir a la gendarmerie. Je lui avais dit que depuis le jour de cette menace, si jamais il faisait quoi que ce soit d'autre, qu'elle devait aller porter plainte, mais jamais elle la fait! Sous peur que X tienne vraiment c'est promesse de menace? Elle savait que ça n'allait jamais en finir, et aujourd'hui je me rends compte qu'elle savait très bien ceux qu'elle faisait. Imaginez qu'elle aurait porter plainte, ma mère n'aurait jamais pu prendre en main mes soeurs, et je l'aurais pas du tout souhaiter. Ma mère les a aimées depuis le jours qu'elles sont né, et ce n'était pas du jour au lendemain que ça allait changer. Elle n'allait pas baisser les bras, moi non plus.

Après les cours, je rentrais pas aussitôt a l'appartement, je profiter encore de ma liberté. Souvent ma mère venait me chercher, et même si on connaissaient la ville par coeur, on faisait toujours le même tour. Le jour ou elle a pu récupérer une voiture d'occasion, cela nous a beaucoup aider avec ma mère. Nous pouvons aller plus loin que la ville, on a pu se reposer sur la plage. Assise sur la plage en regardons le coucher de soleil, Cela reviens a la sensation de tout lâcher, de pouvoir enfin respirer, de ne plus penser a rien. Mais il fallait bien retourner un moment ou l'autre. Ma mère aimait toujours autant C, ces dispute ne la dégoûter pas, mais pour mon bien, on passer plus de temps a l'extérieure. C'est a dire que les devoirs maison, je ne l'ai faisait jamais, celles que je devais rendre, je l'ai rendais jamais, et cela ma était égal que je reçoive des zéros en contrôles. J'étais inconsciente. Mais il rester toujours ce problème pour revoir mes soeurs. Lorsque un soir, l'École fini, je rentrais en prenant mon temps, j'avais cette impression d'être suivi. Je tournais ma tête, et il y avait toujours cet homme que je ne reconnaissez pas, couvert d'un chapeau et d'une veste marron clair longue. Je ne pouvais pas voir son visage. Une fois rentrer j'en ai parler a ma mère, et on a conclu a la même personne, X. Si il m'a suivi, il sais ésormais ou on se cache. Cela n a pas rassurées ma mère, et un soir lorsque la journée du vendredi se termina, ma mère est venu dans le collège me chercher. X était devant le portail et il m'attendait. On a demander une autre sortie pour pouvoir l'éviter, et cette sortie nous a était donne. Je ne sais toujours pas si ce jour la, il était avec mes soeurs. Mais je n'aurais pas pu prendre le risque, surtout après ce James bond qu'il a pu jouer lors du soir mentionnait.

C était un bon buveur, ainsi que sont frère et que leurs amis. Ça mère pouvait boire aussi de temps en temps, mais ce n'était pas que l'apéritif du midi ou du soir, les canettes de bières remplacer l'eau dans leur vie. Les soirs devenait de moins en moins normale. Les frères se taper entre eux, malgré que C essayer de nous protéger contre son frère, et il y avait toujours des bousculades et des engueulades. Le soir je devais partager la chambre de C et de ma mère. La chambre faisait facilement six mètres au carre, et il y avait pratiquement pas assez de place pour mon matelas. Ma mère ne pouvait plus me cacher, les problèmes familiaux qu'avez cette famille. Je pouvais pas dormir, les engueulades pouvaient durer jusqu'à tard le soir. Ma mère m'amener au parc jusqu'à deux, trois heures du matin parfois, pour pouvoir respirer un peut. On se promener au bord du port et on parler. C nous rejoignait peut de temps après, et on pouvais passer de bons moments. Tout comme des mauvais. Mais mes journées au collèges, devenait de plus en plus difficile. Je m'absentais plusieurs fois, pour pouvoir dormir. C'était devenu du grand n'importe quoi, je savais que ça pouvais ruiner mon future si je rester, mais j'étais pas prête a abondonner ma mère. Pas dans ses conditions la. Puis on avait pas oublier mes soeurs. On parlez d'elles tous les jours, on essayaient de les voir souvent, mais les premières tentative étaient des échecs. X ne voulaient pas. Jusqu'au jour ou ma mère a pu enfin avoir l'accord pour qu'elle puisse venir les voir. C'était un mercredi, et ma mère m'avait donner rendez vous chez lui après les cours. Elle y était déjà depuis quelques heures. J'étais très nerveuse, j'aurais préférer m y rendre avec ma mère, mais j'étais seule a sonner a la porte. Malheureusement des que X a ouvert la porte, il m a renvoyer, et a violament pris le bras de ma mère pour la renvoyer aussi. Ma mère lui a crier dessus, mais je m'étais pas rendu compte que mes deux bouts de choux était juste la, a nous regarder. Mon coeur c'est effondrée. Comment voulez vous continuer a respirer dans cette situation, quand un homme refuse tout contact et se traduit violent devant des enfants. Je l'aurai fusiller sur place. je l'aurais mordu, battu je l'aurais envoyer tout ceux que je pensais, mais cela n'aurais servit a rien... Pas a cette instant, pas devant mes puces.

Je suis restée dans cette maison pendant deux jours, jusqu'à ce que ma mère m'est appelée pour enfin venir me chercher. Je me rendais pas compte de la situation encore, et je penser bien que je ne pouvais pas rester avec mon ex beau père. Lorsqu'il était sortit avec mes soeurs a la plage, j'ai du faire mes bagages en cachette, mais le seul problème qui rester c'était comment sortir, car X était malin et il avait fermer la porte a clé. J'ai du escalader ma fenêtre avec mes valises, pour la rejoindre. Toujours sans clés de voiture on est rentrer dans notre nouvelle demeure a pieds. Je m'en rappelle bien, c'est cela qui me fait le plus mal je pense aujourd'hui. La sensation de tout abandonner sans y réfléchir, d'avoir le coeur qui bat assez fort et de ne plus regarder derrière, d'avancer tout droit. J'avancée sans le vouloir. Notre nouvelle maison était en plein centre ville, a dix minutes de notre ancienne. C'était un petit appartement au quatrième étage, avec trois chambres, dont une aménager. Ne vous laissez pas influencer par le nombre de chambre que je vous ai citez, car après les chambres il ne rester plus qu'une salle a manger, ou plutôt une salle a vivre, de douze mètres au carre. Et vous allez peut être rajouter que c'est quand même assez grand pour deux adultes et un enfant, mais on était pas les seuls dans cette appartement. Originalement l'appartement appartenait a la maman de C, le nouveau copain de ma mère. C avait trente ans, ma mère trente- quatre et moi treize. En plus de la maman de C, il y avait encore son plus jeune frère, qui n'avait pas encore déménager. On était donc quatre adultes et un adolescent en totale. Ce qui fait une maison bien chargée, surtout lorsque il n y a qu'une personne qui travaille. Les premiers jours n'était qu'une bonne impression, mais plus les jours passer et plus leur relation familiales se dévoilés.

Lorsque les vacances arriva, comme toujours je partais en vacances chez mon père. Ces vacances la j'ai fais la connaissance avec sa nouvelle copine, L. On a fait connaissances, et on s'est bien entendues. Mon père avait un chien que j'aimais beaucoup. Il l'appelé Grizby, Il était né le même jour que moi, et il faisait parti de la famille. Il était adorable et ça faisait déjà dix ans qu'il était parmi notre famille. Un Labrador noir, l'ami le plus fidèle a l'homme. De l'autre cote, tout bascula. Lorsque X a su pour les nouvelles aventures de ma mère, il l' a rejeta de sa maison. Ma mère n'a pas pu prendre en charge ses filles, n'a pas pu prendre les clés de sa voiture, ni son argent. Elle n'avait qu'autre choix de déménager chez sa nouvelle famille. Quand elle m'a appelée j'ai su que ça allait provoquer beaucoup de changements. On revenant de mes vacances, X était le seul a venir me chercher a l'aéroport. J'avais pas le choix, mais de le suivre, puisque ma mère ne pouvait pas venir. Il a essayer de me faire parler, de me faire dire tout ceux que je savais a propos de l'amant en question, mais qu'est ce que j'aurais pu lui dire? Je n'avais jamais vu ce monsieur en question, et sous peur qui me fasse du mal, je me taisais encore plus. Une fois arriver a la Seine sur mère, j'étais soulagée de voir mes soeurs. J'ai pu enfin constater leur changements de regards. Comme si leurs visages s'était éteint, qu'il n y avait plus beaucoup d'énergie dans leurs corps. Cela m a fait beaucoup de peine car je me sentais coupable, je savais ou était parti leur mère, ça ne tenais qu'a moi, pour qu'elles puisse la revoir, j'aurais pu donner une adresse... Mais je ne l'ai pas fait.